jeudi 10 décembre 2015




En ce jour 10 décembre 2015, journée de l’Espace d’Interpellation Démocratique.
J’adresse mes sincères salutations à Monsieur le Médiateur de la République, ainsi qu’à tous les défenseurs de Droits l’Homme.
Je salue également le soutien de la Communauté internationale, pour l’amélioration de la situation qui prévaut au pays, le bon déroulement des élections, les efforts consentis pour la signature des accords tout en souhaitant que ces accords ouvrent de nouvelles perspectives à la paix, à la stabilité et au développement de ce pays.
C'est une page passionnante de l'histoire du Mali qui est ainsi ouverte, avec ses ambitions, ses visions, ses incertitudes, ses lacunes. Elle éclaire le présent et fonde l'avenir d'un idéal commun.
De mars 2012 à nos jours le Mali n’a pas presque connu une véritable paix. Pour cela, je vous invite tous ! Mesdames et Messieurs ! A jouer un rôle actif dans la préservation de la stabilité du développement socio-économique, mais aussi et surtout dans l’application des Droits de l’homme en ces moments difficiles, le tableau est certes sombre, mais il n’est pas fatal.
A cet égard, il est important qu’on s’engage avec une volonté ferme d’affronté la vérité et faire revenir notre dignité, notre sécurité humaine et notre protection sociale, car la sécurité humaine en termes de libération de la peur et du besoin aspire à protéger le noyau vital de toute vie humaine, d’une manière qui permet l’exercice des libertés et facilite l’épanouissement.
En réalité les Droits de l’homme se sont historiquement constitués en référence à un droit naturel à la sécurité.
Ainsi, le vivre en sécurité ou la sécurité humaine résume deux mots qui cristallisent les souffrances et les angoisses de l’humanité depuis son origine : il s’agit de la peur et le besoin, par rapport à la persistance des dangers qui menacent les individus reflètent les conditions objectives et subjectives dans lesquelles ils vivent.





En ce jour 10 décembre 2015, journée de l’Espace d’Interpellation Démocratique.
J’adresse mes sincères salutations à Monsieur le Médiateur de la République, ainsi qu’à tous les défenseurs de Droits l’Homme.
Je salue également le soutien de la Communauté internationale, pour l’amélioration de la situation qui prévaut au pays, le bon déroulement des élections, les efforts consentis pour la signature des accords tout en souhaitant que ces accords ouvrent de nouvelles perspectives à la paix, à la stabilité et au développement de ce pays.
C'est une page passionnante de l'histoire du Mali qui est ainsi ouverte, avec ses ambitions, ses visions, ses incertitudes, ses lacunes. Elle éclaire le présent et fonde l'avenir d'un idéal commun.
De mars 2012 à nos jours le Mali n’a pas presque connu une véritable paix. Pour cela, je vous invite tous ! Mesdames et Messieurs ! A jouer un rôle actif dans la préservation de la stabilité du développement socio-économique, mais aussi et surtout dans l’application des Droits de l’homme en ces moments difficiles, le tableau est certes sombre, mais il n’est pas fatal.
A cet égard, il est important qu’on s’engage avec une volonté ferme d’affronté la vérité et faire revenir notre dignité, notre sécurité humaine et notre protection sociale, car la sécurité humaine en termes de libération de la peur et du besoin aspire à protéger le noyau vital de toute vie humaine, d’une manière qui permet l’exercice des libertés et facilite l’épanouissement.
En réalité les Droits de l’homme se sont historiquement constitués en référence à un droit naturel à la sécurité.
Ainsi, le vivre en sécurité ou la sécurité humaine résume deux mots qui cristallisent les souffrances et les angoisses de l’humanité depuis son origine : il s’agit de la peur et le besoin, par rapport à la persistance des dangers qui menacent les individus reflètent les conditions objectives et subjectives dans lesquelles ils vivent.